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Les engagements de notre exploitation familiale à Uchaux

La Comtesse, producteur de légumes et fruits dans le Vaucluse

Nous travaillons en agriculture raisonnée sur l'ensemble de notre exploitation.

.Celle-ci détient de nombreux avantages : L'attractivité pour le consommateur, en garantissant une production plus responsable vis-à-vis de l'environnement. La mise en place de la gestion et du pilotage de l'exploitation. La mise en œuvre d'une démarche de progrès continu et de développement.

De plus sous la serre en verre de 2.4 hectares nous pouvons mettre en pratique la lutte intégrée ou gestion intégrée des ennemis des cultures. C'est une méthode décisionnelle qui a recours à toutes les techniques nécessaires pour réduire les populations d’organismes nuisibles de façon efficace et économique, tout en respectant l’environnement.

La lutte intégrée en six étapes :

1• Identifier alliés et ennemis. La majorité des organismes vivants sont utiles. On ne peut se permettre d’éliminer tout ce qui bouge. En lutte intégrée, il faut d’abord identifier et connaître les espèces qui habitent les écosystèmes agricoles (champs, vergers, serres, etc.).

2• Dépister et évaluer la situation. Pour rationaliser les décisions, il faut aussi évaluer les conditions environnementales, l’abondance des organismes nuisibles et utiles, l’état de santé et le stade de développement des cultures. Dans plusieurs productions maraîchères et fruitières, le suivi régulier des champs a permis de mieux utiliser les pesticides et de réduire leur emploi sans perte de qualité et de rendement.

3• Installer des auxiliaires en prévention afin de limiter les attaques de ravageurs nuisibles.

4 • Adapter l’écosystème. Plusieurs organismes nuisibles résident en bordure des champs, dans les cultures voisines, dans des résidus de cultures et dans les sols. Ils peuvent aussi être transportés par la machinerie et le personnel agricole. Le choix de cultivars tolérants ou résistants, la modification des densités et des dates de semis, la culture sur billons, l’entretien des brise-vent et des fossés, la désinfection des équipements et l’utilisation de rotations appropriées sont autant de moyens de rendre l’écosystème favorable aux organismes utiles et aux cultures, mais difficile à vivre pour les ravageurs, les agents pathogènes et les mauvaises herbes.

5 • Combiner les méthodes de lutte L’intégration de différentes méthodes de lutte préventives ou curatives, soit biologique, mécanique, culturale, génétique et chimique, assure une réduction plus durable et souvent plus efficace des populations d’organismes nuisibles et contribue à réduire les risques associés à l’emploi exclusif des pesticides chimiques. Ces derniers ne sont qu’un maillon de la lutte intégrée et doivent être utilisés uniquement lorsque la situation le justifie.

6 • Évaluer les conséquences et l’efficacité des actions. Tout processus décisionnel implique une évaluation des résultats. L’utilisation de parcelles témoins, le dépistage et les évaluations de rendement et de qualité permettent de quantifier l’efficacité et la rentabilité de nos actions et d’améliorer graduellement nos façons de faire.